Moi c'est Aspen Lux McQueen, je suis une humaine  mais mon métier c'est plutôt du genre assistante animalière.

   Je suis âgé de 22 ans, l'âge parfait, quoi. Je suis né à Sundsvall en Suède. Actuellement, je suis célibataire et par dessus le marché, j'aime les hommes.
   Bon, je vais te raconter un peu ma vie, tu verras, ce sera chouette.
 

Aspen est une jeune femme qu'on peut qualifier de séduisante. Elle n'est pas très grande du haut de son mètre soixante, mais elle a un physique agréable. Sa silhouette élancées aux formes généreuse fait souvent se retourner les regards sur elle, mais elle n'y prête pas attention car en réalité elle s'en moque. Son visage ovale angélique arbore le teint frais, ses joues toujours peu rosées par le froid. Ses yeux... Ses yeux sont ensorcelant, d'un brun intense tout comme ses cheveux long qui sont la plupart du temps ondulées. Aspen à deux jolies fossettes qui se dessine quand celle-ci sourit, ce qui est devenue rare ses temps-ci.

Aspen est quelqu'un d'indépendante, pas par choix, mais plus par nécessité en vérité. Elle arbore avec fierté son courage et sa loyauté, son intransigeance et sa générosité. Femme de caractère, elle demeure très impulsive, refuse que quiconque lui manque de respect sous peine de réprimandes sévères et acerbes. Maîtrisant son calme pour le bien de tous, elle n'en est pourtant pas moins personnellement sanguine et impulsive, mais elle parvient tout de même à garder son sang froid lorsque la situation l'exige, bien que difficilement. Rancunière, elle n'oublie jamais les blessures qu'on lui inflige et s'avère être véritablement patiente lorsqu'il s'agit de rendre l'appareil. Elle peut toutefois se montrer très douce et adorable quand elle est en présence d'amis sincère en qui elle a donné toute sa confiance, qui n'est pas chose facile pour elle.
 

La neige tombe, puis elle fond, ensuite voilà les premiers bourgeons qui apparaissent et donne naissance à de magnifiques fleurs, elles égaillent les beaux jours, puis finalement les feuilles finissent par tomber et les fleurs rendent leurs derniers souffles... Voilà le cycle de la vie, et ainsi de suite....

La Suède, c'est la terre qui m'a vu voir le jour. De longues étendues sauvages, de forêts, de lacs, le tout dans un climat vivifiant. Le soleil de minuit, les aurores boréales, bref vous aurez compris que je suis attachée à ma terre natale. Nous habitions dans une réserve naturelle, pas de voisins, le bol d'air frai chaque jour, le chant des oiseaux bercé par le vent, le pied ! La terrasse surplombait un lac entouré de son manteau boisé. Mon frère et moi, passions nos journées  jouer dans les bois, je passais des fois des heures dans un coin de la terrasse à observer les différents animaux qui passaient par là. Le paradis sur terre...



Mon père un grand homme d'affaire à eu une augmentation, mais les termes de cette augmentation étaient de partir vivre à Los Angeles. Évidemment, ma mère, mon frère et moi l'avons suivit. Nos parents nous avait déjà parlé plusieurs fois de Los Angeles en prévision de cette mutation. Mais nous étions heureux, un nouveau continent, un nouveau pays, un nouveau climat, de nouveaux paysages, de nouveaux animaux, bref j'en passe...
Los Angeles attention, nous voilà ! Tous se passait à merveille, de nouvelles rencontres, nouvelle école, nouveaux camarades. Tout allait pour le mieux, nous avions un appartement au centre de L.A. L'exultation d'une nouvelle vie nous entraînait de plein fouet, mais elle fut de courte durée, les paysages sauvages nous manquaient, la ville nous étouffait, le manque de liberté nous pesait tous. Oui quand on passe d'une maison au cadre sauvage à un appartement au seizième d'un immeuble il y a de quoi ! C'est pourquoi, un an après notre emménagement mon père décida de prendre une maison dans une réserve naturelle de L.A nous avons retrouvé notre ravissante nature. Je passais le plus clair de mon temps libre dans la forêt qui enlaçait notre maison, j’observais la nature, respirait à plein poumon. J'avais une affection particulière pour les animaux. Je dois avouer que j'ai plus de feeling avec les animaux qu'avec les humains. Une après midi d'été j'ai découvert un louveteaux tout seul, bien-sur je suis restée à distance, je sais très bien que les parents ne sont jamais très loin. Mais voilà, celui-ci paraissait abandonné. Chaque fois que je venait à cet endroit, il était toujours là, et l'air de plus en plus amaigris, c'est alors que j'ai commencé à le nourrir, tous les jours après les cours j'allais le nourrir. Plus les jours passaient, plus le louveteau reprenait du poids, et m'accordait un peu plus de sa confiance, il se laissait caresser, il jouait avec moi. Il était devenu en quelque sorte mon confident, que j'avais appelé Odin.
Un soir à la maison, nous avons décidé de faire un barbecue sur la terrasse. Nous étions tous entrain de manger quand Odin pointa le bout de sa truffe sur la terrasse, j'ai cru que ma mère allait faire un arrête cardiaque en le voyant. J'avoue il n'avait plus trop l'air d'un louveteau, mais il en était encore un malgré tout. Mes parents ainsi que mon frère étaient totalement ahuri de voir Odin me faire la fête tel un chien retrouvant son maître. Odin à été le sujet de conversation jusqu'à la fin du repas, comment je l'avais trouvé, qu'est ce qu'on va bien pouvoir en faire.
Bref, j'ai réussi à convaincre mes parents qu'il était inoffensif, et qu'il fait un très bon gardien de maison. Au final Odin à élu domicile autour de notre maison, à mon plus grand bonheur !
Ce magnifique loup gris du canada gardait sa part sauvage, mystérieusement il n'y a que moi qui pouvait le toucher, il approchait mes parents, toutefois il restait à l'écart. Ma mère n'arrêtait pas de me dire que j'avais un contact facile et inné avec les animaux...

Pendant les vacances d'hiver nous partions chaque années dans un chalet au fin fond du Canada avec la famille d'un collègue à mon père. J'avais préparer mes affaires la veille, et pendant que tout le monde finissaient de faire son sac, j'en profitait pour dire au revoir à Odin. Il savait qu'on partait un temps en hiver, il le sentait car à l'approche de notre départ Odin se montrait toujours grincheux. Je fit mes au revoir en tendresse à Odin pour en retour avoir de grandes léchouilles, je vous passe les détails...
Tous le monde à bord pour la voiture, nous partions pour le Canada, et son grand manteaux blanc. Mon père conduisait, ma mère était à ses cotés tendis que mon frère et moi étions derrières. Nous discutions de tout et de rien, l'euphorie du voyage nous avait emporté...
La joie, des rires, des chahuts, un grincement de frein, un arbre...

Je courais dans une prairie aux côtés de mon frère juste derrière nos parents, les rayons du soleil sur ma peau et le vent caressait mon visage soulevant mes cheveux bruns, les hautes herbes fouettaient mes jambes à demis nues. J'étais heureuse, je riais, sautait, gambadait. Je voulais que ce moment perdure dans le temps et ne s'arrête jamais. Parce que j'étais bien, je criais de joie, rigolais, dansais, le bonheur m'avait emporté. Le soleil commençait doucement à se coucher derrière les montagnes, les éclairant de mille feux. Je me coucha dans la prairie au beau milieu des hautes herbes, je m'étendait de tout mon long. Le visage réchauffé par les derniers rayons de soleil, je ferma lentement les yeux me laissant bercer par le chant du vent dans les hautes herbes. Soudain, je sentis qu'on me serra la main.

Aspen ! Aspen !

J'avais la sensation d'avoir la tête dans un étau, et mes paupières étaient si lourdes que je peinais à les ouvrir. Une lumière blanche et aveuglante me troubla la vue quelques instants. J'entendais que ça s'agitait autour de moi, mais qu'est ce qu'il se passait ?! Je reconnus sans hésiter Alek, mon frère, j'étais allongée je ne sais où, et autour de moi, des hommes en blouse blanche s'agitaient. Mon regard cherchait celui de mon frère, il me rassura immédiatement me caressant le front. La fatigue me submergea me plongeant à nouveau dans un sommeil.
Je rouvris les yeux un peu plus reposer que la première fois, je vis Alek assis sur une chaise à côté de mon lit... D’hôpital ? Je scruta la chambre dans laquelle je me trouvais, murs blanc, des trucs médicaux en guise de décoration.

Alek ! Où sommes-nous ? Qu'est ce qu'il s'est passé ? Où sont papa et maman ?! Alek !

Mon frère ouvris les yeux et ne pris pas le temps de me répondre, il appela de suite un médecin, quand il se retourna je pu lire dans son regard avant même qu'il dise quoi que ce soit.

Nous avons eu un accident, il ne reste que nous.

Le monde s’effondra sous moi, les larmes montaient en moi, je me mis à hurler de douleur, une douleur non pas physique mais interne, je hurla toute ma tristesse... Alek me pris dans ses bras et me serra fort me chuchotant à l'oreille, me priant de me calmer, me promettant que ça va aller, qu'il est là, qu'il veillera sur moi...


Voilà que mon frère et moi recommencions une nouvelle vie dans une nouvelle famille, dans une nouvelle maison. La maison dans la réserve avait été vendue suite au décès de nos parents, et Odin... Quant à lui il avait disparue... N'étant pas encore majeurs ni mon frère ni moi, nous nous sommes retrouver dans cette famille d'accueil, plutôt gentille, mais ça ne pouvait pas remplacer nos parents. C'était des personnes d'un certaine age, mais très doux, l'un comme l'autre.
À l'âge de seize ans j'ai quitté le cursus scolaire normale, pour intégrer une école spécialisé dans le comportement animalier. J'y ai passé mes diplôme haut la main et j'ai fini par trouver du boulot dans un parc naturel près de L.A qui étudiait les loups. Souvent, en rentrant du travail, je faisait une halte devant la maison de la réserve qu'on avait avec mes parents, j'y retournais dans l'espoir de revoir Odin, mais en vain.
Alek à attendue que j'ai mes dix-huit ans pour quitter la maison, nous avons pris un appartement non loin du centre de L.A, je travaillais toujours dans la réserve naturelle tandis qu'Alek lui travaillait en tant que mécanicien.
Un soir nous sommes sorti boire un verre tous les deux, nous avons ruminé le passé, parlé du présent mais aussi de l'avenir, il parlais qu'il voulait ouvrir son propre garage et qu'il ne ferait que des voitures de luxe, alors que moi je préférais rester au contacte des animaux, il ne comprenait pas réellement c'est attirance pour des être à poils, mais bon il essayait. Nous avons quitté le bar tard dans la nuit et nous avons pris le chemin pour rentrer.
Une fois arrivés en bas de l'immeuble j'ai décidé de restée un moment seule le temps d'une cigarette pour prendre un peu l'air, mon frère est donc monté à l’appartement. C'est là qu'un groupe de jeunes homme,s quelque peu alcoolisés, ce sont approchés de moi, ils voulaient que je les suive pour une soirée qui se déroulait quelques rues plus loin. J'ai décliné poliment l'offre, mais ceux-ci ont insisté et ils ont commencé à se comporter violemment, j'ai crié pour que quelqu'un m'entende. C'est la qu'Alek est arrivé en bas de l'immeuble, il leur a crié de partir l'un deux c'est énervé voyant Alek me prendre par la main pour me faire rentrer dans l'immeuble, et la violemment poignardé. J'ai de suite appelé les secours ce qui a fait fuir la bande de jeune. Les pompiers arrivés sur place m'ont dis qu'ils n'auraient rien pu faire, que le couteau avait touché le foi ce qui ne lui laissait que quelques secondes de survie...

À nouveau le monde s'ouvrait sous mes pieds, je me retrouvais seule pour de bon, mais je suis une battante, j'arriverais à me reconstruire, je suis une battante... Pour toi Alek je me battrais...



 

Bonjour tout le monde ! C'est moi Shae, la personne cachée derrière l'écran.
   Je suis arrivé(e) ici grâce à pure hasard et je suis majeure puisque j'ai 21ans.

   Mon niveau rp est Débutant et Les Pandas dirigent le monde ! Muahaha ♥.