Ven 27 Juin - 11:13 VIDEO « claws on the chick. »
« Come up to meet you. Tell you I'm sorry. You don't know how lovely you are. I had to find you. Tell you I need you. Tell you I set you apart. Tell me your secrets. And ask me your questions. Oh let's go back to the start. Running in circles. Coming up tails. Heads are a science apart. Nobody said it was easy. It's such a shame for us to part. Nobody said it was easy. No one ever said it would be this hard. Oh take me back to the start. I was just guessing. At numbers and figures. Pulling the puzzles apart. Questions of science. Science and progress. Do not speak as loud as my heart. Tell me you love me. Come back and haunt me. Oh when I rush to the start. Running in circles. Chasing our tails. Coming back as we are. Nobody said it was easy. Oh it's such a shame for us to part. Nobody said it was easy. No one ever said it would be so hard. I'm going back to the start. »
Je tente d'assimiler ce qui m'arrive alors que je me trouve recroquevillé sur moi même, en ce sol autrefois d'un blanc immaculé et rendu glissant par le liquide aqueux parsemant mon corps nu, provenant de cette cuve d'où je viens d'être tout juste tiré de force. Je regarde d'ailleurs cet objet avec curiosité. Pourquoi m'avait-on mit là dedans ? Pourquoi m'a-t-on obligé de vivre dans cet endroit que je considérais à présent comme horrible ? Mais surtout, qu'est-ce que l'on m'avait fait depuis mon arrivé dans ce monde ? Je fis une grimace, me disant que sans doute, m'avait-on épier longuement alors que je dormais profondément, sans me douter de quoique ce soit, sans que j'y puisse y faire quelque chose... Et sans doute ces drôles d'individus avaient-ils quelque chose d'autre à cacher. Peut être attendaient-ils quelque chose de ma part... Et je les vois d'ailleurs se rapprocher de moi puis m'entourer. Je tente de fuir en poussant sur mes jambes, mais il y a toujours un homme en blouse blanche pour me barrer la route. Mon pouls s'accélère, et je commence à trembler. Je ne sais si c'est à cause du froid qui me tiraille ou par la peur qui m'envahit. Dans une autre situation, je me serais sans doute comporté comme un brave. J'aurais combattu l'ennemi et je les aurais tous détruit. Si seulement ils ne m'auraient pas eut par surprise en me tirant soudainement de cette rêverie, ce pseudo paradis. Néanmoins, je sais que si je me laisse faire, je ne pourrais plus me débattre ensuite. Ils m'anéantiront. Si je les laisse encore s'approcher et me toucher, ils feront en sorte à stopper toute forme de protestation. Alors je tourne sur ce petit espace qu'il me reste afin de me mouvoir. Et je pousse un grognement à l'intention de l'un d'eux. S'en est assez pour le faire reculer, ce qui me satisfait et m'encourage à continuer d'agir de la sorte, désireux de leur prouver que je n'étais pas prêt à me laisser faire. Loin de là. Même s'ils avaient jusque là réussit à m'emprisonner dans cet enveloppe corporel et pouvoir prétendre avoir tout les droits sur ma personne, ils se mettent le doigt dans l’œil. Face à cette soudaine panique que je pouvais apercevoir dans le regard de quelques un, je pris d'ailleurs plus d'assurance afin d'être sûr que je pourrais quitter cet endroit sans qu'ils puissent continuer leur expérimentation sur moi. Mais il fallait que je me fraie un chemin. Or, toutes les voies semblaient se refermer avec l'avancée des scientifiques anxieux mais plus déterminé que jamais. Sans doute donnais-je à présent l'impression d'un pauvre chaton grognon plutôt qu'une terrible créature qu'il fallait craindre. Il fallait que j'agisse à présent. Et c'est sans prévenir que je me propulsait de mes deux pattes pour aller me projeter sur le premier malheureux sur le sol, un peu plus loin. M'assoir à califourchon, et commencer à l'étrangler.
+ hs ; désolé si c'est court, je pensais d'abord lancer le sujet et puis ensuite détailler après. n'hésites pas à me prévenir néanmoins si je dois modifier quelque chose. :3
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