Moi c'est Baal Strauss, je suis un Daemon  mais mon métier c'est plutôt du genre "bonne-question-je-viens-juste-de-naitre-on-verra-plus-tard.".

Je suis âgé de 26 ans, l'âge parfait, quoi. Je suis né à Los Angeles, le cul pas loin du benne à ordure dans une ruelle moche qui chlingue... avouez qu'on fait difficilement moins glamour. Actuellement, je suis célibataire et par dessus le marché, j'aime TOUT! Femmes, hommes! Pourquoi se priver! . Ah au fait, j'ai un Lié hyper coincé et décalé qui s'appelle Gabriel Strauss.
Bon, je vais te raconter un peu ma vie, tu verras, ce sera chouette.

Le mètre quatre vingt neuf pour un corps musclé et propotionné aux désirs de mon lié. Il a bon gout vous avez-vous? Visiblement, il aime les blonds dans son subconscient ... et ça ne m'étonnerait pas qu'il refoule un fantasme de domination, d'où ces choses là :*plote son propre biceps de l'index*. Pas mal hein. Ok, ok , j'arrête de m'tripoter. Bon, et si on parlait du reste. Aucun tatouage, aucun piercing, en verra si j'y remédie, mais j'ai une tâche de naissance entre les omoplates, trois points en triangle inversé. Ne me demandez pas d'où cela vient, c'est lui qui m'a créé après tout.
Cheveux longs, yeux ambres, peau clair, barbe ou non, mon look peut changer. Je n'ai aucune cicatrice pour le moment, mais vu mon goût du risque et mes tendances douteuses, ça risque de bien rapidement changer.  

Livre d'Ezéchiel

« Je t'avais installé, et tu y étais, sur la sainte montagne de Dieu [...] et ce jusqu'à ce qu'on trouve de l'injustice en toi. »
Baal: Et que je la devienne. Tu m'a donné vie. Assumes et remercie-moi, car à présent tu es bien plus pur...
Et maudis moi, car à présent, tu es lié aussi à un démon, le tien.
La tentation dans la pureté c'est de se demander ce qu'est le maléfique.

SOMBRE - INSTABLE - FRANC - DIRECT - AGUICHEUR - MANIPULATEUR - SOCIOPATHE SUBTILE (ou pas) - SARCASTIQUE - DRÔLE - FÊTARD - ADDICT - PATIENT - OBSERVATEUR - INTELLIGENT - CHIANT A SOUHAIT - FASCINÉ PAR L'OCCULTE - VICIEUX - FIER - PERVERS - CURIEUX - EXPÉRIMENTÉ TROP DE CHOSES - AIME COMPRENDRE - PARLER CRU - OSE TOUT ET N'IMPORTE QUOI - AIME L’IMPRÉVU - GOUTS PARFOIS DOUTEUX ET GLAUQUES - JE M'EN FOUTISTE - BORDÉLIQUE - FORTE PERSONNALITÉ.

LES DIX COMMANDEMENTS DE MON LIÉ - GABRIEL - 1. Tu n'auras pas d'autre dieu que moi. 2. Tu ne te feras pas d'idole ni de représentation quelconque de ce qui se trouve en haut dans le ciel, ici-bas sur la terre, ou dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras pas devant de telles idoles et tu ne leur rendras pas de culte, car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu qui ne tolère aucun rival : je punis les fils pour la faute de leur père, jusqu'à la troisième, voire la quatrième génération de ceux qui me haïssent. Mais j'agis avec amour jusqu'à la millième génération envers ceux qui m'aiment et qui obéissent à mes commandements. 3. Tu n'utiliseras pas le nom de l'Éternel ton Dieu pour tromper (ou de manière abusive), car l'Éternel ne laisse pas impuni celui qui utilise son nom pour tromper. 4. Pense à observer le jour du repos (ou sabbat) et fais-en un jour consacré à l'Éternel. Tu travailleras six jours pour faire tout ce que tu as à faire. Mais le septième jour est le jour du repos consacré à l'Éternel, ton Dieu ; tu ne feras aucun travail ce jour-là, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui réside chez toi ; car en six jours, l'Éternel a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s'y trouve, mais le septième jour, il s'est reposé. C'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du sabbat et en a fait un jour qui lui est consacré. 5. Honore ton père et ta mère afin de jouir d'une longue vie dans le pays que l'Éternel ton Dieu te donne 6. Tu ne commettras pas de meurtre 7. Tu ne commettras pas d'adultère 8. Tu ne commettras pas de vol 9. Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain 10. Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras ni sa femme, ni son serviteur, ni sa servante, ni son boeuf, ni son âne, ni rien qui lui appartienne.

MES DIX COMMANDEMENTS. 1. Tu n'auras pas d'autre dieu que moi. 2. Ne tolère aucun rival : Punis les fils pour la faute de leur père. Marche sur ceux qui le convoitent et je marche également sur son Dieu, car il est un rival. Et en sortant de son être, Il t'a aussi donné sa liturgie et tout ton savoir que tu sauras utiliser à bon escient. *penche la tête et sourit* 3. Ne remercie jamais d'autre dieu que moi, le déchu Luciferis, parce tu es né comme un virus, un être entier qui sera toujours en manque et que ta colère ne sera jamais étanchée. 4. La vie est trop courte pour le repos. Sois un des ouvriers réels de la vie, montre leur comment aimer et profiter, jusqu'à ne pas regretter le jour où je viendrai les chercher pour les enfers.  L'Éternel a fait le ciel, mais la terre m'appartient et elle est ton terrain de jeu. Ce qui est à moi et à toi, disciple. Aime la vie. Aime ses péchés et fais-en ta gouverne. 5. Protège et honore celui à qui tu es lié et n'oublie jamais qui tu es. Sois son démon mais aussi son dévoué. 6. Étudie les lois du monde et si tu commets un crime, sois sûr d'échapper à la sentence. 7. Ton instinct prévaut sur les mœurs. 8. N'a d'obligation que celui qui s'en impose, mais si tu t'en donnes, alors respecte les. 9. Mens si tu es estimes la cause louable à tes yeux. 10. Prie-moi, fervent lieutenant, et je saurai te soutenir de tout mon être au travers des épreuves qui t'attendent. Je serai ton corbeau messager et guide.

"Tout est lié et mon nom précède cette existence qui va s'ouvrir à moi sur un monde que je ne connais que par les yeux de cet ange déchu. Ces boucles brunes dansent dans ma tête comme une ôde au péché, lui qui n'en a jamais commis. Et cette colère de voir les miens comme esclave d'un monde qu'on leur a imposé... Nos liés... La plupart cruels et indifférents. Ne sommes-nous que des chiens? Leur monde est en décadence et ils osent les expériences, mais le jour viendra où je tirerai moi-même une balle au fusil à pompe dans la gueule du type qui a osé penser qu'il pouvait nous reproduire avec leurs sciences... En définitif, nous sommes des Daemons, mais je ne me contenterai jamais de ça...Je suis soldat des consciences. Un jour viendra où ces prétentieux comprendront qu'à tout vouloir maitriser ils vont se casser la gueule. Il y a de cela cinquante ans, jamais personne n'aurait pensé que nous puissions être là... Et bien dans cinquante ans... ce sont eux qui se cacheront derrière nous.
Parce que bien que vous vous mentiez, quant à notre utilité et notre rôle, s'il y a bien une chose que m'ont appris les connaissances que m'a transmis mon lié... C'est que toute chose a une place en ce monde... et si nous existons, c'est qu'un jour viendra notre tour de vous prouver que sans nous, vous n'êtes rien. Et ce ne sont pas des substituts qui auront le dessus. Je les attends ces foutus doubles, histoire de leur éclater leur mâchoire de mutant à coup de parpaing de béton. Après tout, ne suis-je pas Baal en référence au démon? "

Un temps pour naître.
Un temps pour croire.
Un temps pour comprendre.
Jamais assez de temps pour vivre.

Un temps pour apprécier.
Un temps pour maudire.
Un temps pour agir.
Jamais assez de temps pour te sentir.

Un temps pour baiser.
Un temps pour être addict.
Un temps pour renier.
Jamais assez de temps pour aimer.

Au final, le temps est ce qui nous manque.
Et eux pensent le contrôler.
Alors j'emmerde le monde et ses lois.
Parce Baal est, Baal veut, et Baal donnera.

PHILOSOPHIE A POSTERIORI
"quelque part dans l'avenir"

"Je l'ai croisé ces saloperies... Ces doubles ... certains d'entre eux, entre gueules déformés et consciences défoncées. Je devrais un ramener un, un de ces jours à Gabriel, au bout d'une chaine, histoire de lui montrer ce qu'est un monstre. Il verrait que je n'en suis pas vraiment un. La monstruosité est une chose relative. L'humain aime la relativité. Pourquoi j'dis l'humain? Parce que je ne me considère pas comme en étant un. J'en ai les propriétés et les pseudo droits, mais je ne suis pas un humain, je suis un daemon... quelque chose de matérialiser, un être d'un autre monde, caché en attendant mon heure. Oh oui, j'en ai appris à notre sujet et j'ai lu, et lu, et lu, et fouiné sur le net et tout ce que je pouvais gruger comme archives de médias... Parce que Gabriel ne m'a pas fait con, et que l'archange déchu m'en garde, un jour j'leur botterai l'cul à ces cons de scientifiques. Sont-ils sots au points de penser que les doubles ou ces choses qu'ils créent dont on ne sait rien sortent du néant? Pourquoi les croire? Pourquoi je n'pourrais pas penser qu'il séquestre des humains, pour faire des expériences sur des Daemons, et en tirer profit...

Ils n'ont toujours pas compris que tout ça ne dépend pas d'eux? Que tout est régi par des variables qu'ils ne maitriseront jamais? J'ai arrêté de chercher à comprendre. J'attends, me performant un peu plus chaque jour. Jamais trés loin de lui. Je ne puis m'en défaire, et même si je le voulais, je ne pourrais pas, parce que nous sommes ainsi. Ma relation avec Gabriel est bien plus compliquée que beaucoup de binome que j'aie pu croisé. Son fondement semble remonter à des siècles, comme si ce lien avait traversé les âges, par delà les vies antérieures, et quand nous nous approchons, c'est comme si le temps s'arrêtait. Je ne peux l'expliquer, mais je sais aussi qu'il est le seul à m'ébranler de la sorte. De là à le définir, je ne sais même pas y mettre des mots. "

TEXTE INTEMPOREL POST NAISSANCE

Je te vois... tu ne sais pas que j'observe. Aucun bruit. Rien ne transparais et pourtant je suis là, comme je l'étais sans le savoir en toi. Cette fois-ci, j'aimerais l'être autrement. En ton être... Que tu saches que j'existe. Comme un diable, un démon, un monstre, celui qui te conduirait à la déchéance , ou juste comme l'homme, et le daemon qui pourrait crever pour tes beaux yeux. Mais ça, tu l'ignores. Nous avons des règles différents, des libertés différentes, des convictions opposées. Et je me demande si tu vois en moi, comme je pourrais voir en toi. Simplement, je m'y interdit sauf cas de forces majeures. Je suis peut-être un connard invétéré, mais j'aime les jeux équitables, et plus encore quand ce n'est plus un jeu. Je n'ai rien à foutre dans ta tête. Et je vois ta silhouette se mouvoir, les courbes filant sous tes étoles fines... entre la femme et l'homme, pareil à un ange sans ailes... déchu et ton âme semble idem... Ne puis-je rien récupéré? Je ne suis pas responsable de ce que tu es, pourtant je me sens coupable. Mes orbes ambrées avalent chaque fuite de lignes, la cambrure légère de tes reins, la douceur de tes épaules, la pureté de ton cou... et ces mèches ténébreuses qui les caressent en appel au toucher, comme me narguant noblement en contournant tes omoplates que je devine... Ces lèvres, ces yeux qui semblent perdus dans tes occupations, en liant avec des doigts habiles, fins, tel un pianiste qui ferait vibrer la sonorité de mes souvenirs peu nombreux. Comment ai-je pu faire parti de toi sans ne jamais rien voir. Tu aurais du me faire bête, j't'aurais été moins pénible. Je ne peux me résigner à te laisser tranquille. C'est comme mettre un chou à la crème devant les yeux d'un enfant affamé. Tout chez toi m'appelle, me fait revenir. Oh j'sais bien que tu ne me supportes pas. Mais quelque part, moi non plus, et pourtant, cette putain d'attirance me rend dingue. J'ai envie d'avaler ce chapelet que tu tiens pour que tu me sautes dessus et me supplie de te le rendre. Mille fantasmes s'éveillent en mon être quand je te regarde... Notre relation est malsaine, mais j'aime ça, plus que n'importe quoi au monde.

NAISSANCE

Le froid...L'odeur de l'humidité et mes poumons qui se gonflent pour la première fois. Qu'est-ce que c'est... Une lumière légère. Des formes obscures... Assez grisées... L'odeur du pourri. Des pavés par terre, et des filets humides qui semblent stagner. Mes pupilles dilatées captent pour la première fois la lumière. Visage fermé, lèvres qui aspirent avec méfiance un air puant et douteux... Quel est cet endroit dégueulasse... Qui suis-je... Mon souffle rauque, une douleur dans la thoracique. Mes organes me font mal, fais chier... Je semble savoir tout un tas de choses, mais pas les bonnes. Pas celles qu'il me faudrait maintenant. Je porte une main à ma tête, pris d'un léger mal de crâne. Quelque chose me perturbe... M'a-t-on appelé? Je regarde ma main. Je suis à genou par terre, et le contact avec cet endroit et désagréable pour tous mes sens. On voit mal, ça chlingue, j'ai la langue pâteuse et je me sens un peu comme une merde dans une litière à chat... je pousse mes mèches en arrière d'un geste ample et et essaie de me redresser. En fait je vais plutôt bien. Qu'est-ce que je fous à poil ici. J'ai dans la tête tout un tas d'histoire de liturgie, et des histoires d'anges envoyés sur Terre par Dieu, qui leur ôte la mémoire avant. Kss connerie... Je tourne les yeux pour essayer de me repérer. En ville en plus. Bon, relativisons. Au moins, y'a plein de pecnos à qui je peux piquer des fringues. Je regarde rapidement mes mains, mon corps. Je sers les doigts, observe ma corpulence. Pas mal du tout. Quelque soit ma provenance, je n'ai pas à me plaindre. Au moins j'ai...
Un bruit m'arrive aux oreilles. Un cri, des rires graves. Des chocs et je plisse les yeux. Vu comme ça, un mec à poil, avec les pupilles dilatées à presque la totalité des iris, les cheveux en vrac, je suis pas sûr que ça fasse son effet mais , je n'ai pas le choix. Le fait de ne pas savoir qui je suis me pose quand même un sérieux problème. Pourtant j'ai quelque chose qui s'alarme en moi. Quelque chose plus fort que toute ma volonté. Je ferme les yeux un instant m'appuyant au mur et secoue un peu la tête. Merde... faut que ça passe... Et quand je les rouvre, je vois une inscription tagué en noir sur le mur: "Baal t'encule, Église de mes deux!" Écris en gros à hauteur de nain. Charmant. Très expressif. Trés... Baal... Ce prénom percute mes rétines pour ne plus en sortir, mais déjà les bruits me rappellent à l'ordre et je me décale. Sûr, le visage froid, je me décale pour sortir de cette impasse qui débouche sur une ruelle. Mes pieds nus s'écrasent dans les flaques fraiches et dégueulasses et la pudeur est d'un autre soir. Qu'ils aillent au diable ces coincés du dimanche qui se forcent à ignorer que l'homme a une queue. Derrière moi, la lumière d'un lampadaire un peu pété. Devant moi, un groupe d'hommes qui s’exaltent sadiquement sur une silhouette plus frêle. Mon pas ne ralentit pas. je croise une seule fois son regard, et la détresse de son esprit... comment puis-je faire ça... Je plisse les yeux sans jamais pouvoir le quitter du regard, comme aimanté à son âme. L'impression d'un lien puissant, d'un lien qui m'étripe les flancs de l'intérieur et me retourne les humeurs. En quelques secondes, je comprends à son état, qu'il se fait agresser. Mon âme se noircit et je penche la tête , en les regardant lentement un à un. Il se retourna en me voyant arriver, et deux d'entre eux se marrent de me voir à poil. Quand tu l'auras prise dans le cul l'ami, tu te marreras moins. Si tu savais pauvre suffisant bipède tout ce que j'ai envie de te faire subir. Mon souffle se fait plus long, mes phalanges se crispe. Je les attends. A poil ou pas, dansons mes amis. Devrais-je chanté une contine histoire de faire un peu plus psychopathe? Bien. "Je suis une théière au ventre gonflée... j'ai un anse courte et l'âme en berne"... et comme dirait le diable: donne moi ce que je veux et j'm'en irai. Et je rejouterai: Après t'avoir enfoncé ta jolie tête de vainqueur dans le trottoir. Pas un mot ne sortit pourtant. Les coups fusèrent. Je m'en prie un ou deux, mais qui ma colère inexpliquée les percuta de plein de fouet , et avant de charger le dernier dans une grosse benne à ordure, je lui ôtai son baggy déchiré, que j'enfilai comme une deuxième peau. Il finit la tête la première avec ses autres potes scoots, et je refermai le couvercle dans un bruit assez rude : "Avec les compliments de Baal , connard. Amen.  "Je me retournai alors pour m'approcher de la silhouette mal en point au sol.
Pourquoi est-ce que je me sentais lié à ce mec... Il allait devoir m'expliquer.

SUITE EN RP!

Bonjour tout le monde ! C'est moi B.K., la personne cachée derrière l'écran.
Je suis arrivé(e) ici grâce à votre modo à la casquette de grenouille jaune et je suis majeure puisque j'ai 29 ans.

Mon niveau rp est Vétéran et je suis déjà fan. Je vais tous vous traumatiser et vous allez vouloir vous débarrasser de moins par tous les moyens ! Non , plus sérieusement, concept super sympa, et puis vous avez l'air d'être une communauté trés agréable et c'est ça que je recherche   ♥.