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 Penser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter 
MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:09

Auster pierre Quinn



« Il faut traduire la nature, comme elle s'offre aux sens ; et son interprète ne doit jamais être son commentateur.. »

Moi c'est Auster Pierre Quinn, je suis un lié  mais mon métier c'est plutôt du genre traducteur-interprète.

Je suis âgé de 25 ans, l'âge parfait, quoi. Je suis né à Montpellier en France. Actuellement, je suis en couple et par dessus le marché, j'aime les femmes. Ah au fait, j'ai un Daemon qui s'appelle Cléopâtre Quinn.
Bon, je vais te raconter un peu ma vie, tu verras, ce sera chouette.



Mon Apparence


Avec ce physique d'athlète, difficile de croire qu'Auster n'est que le traducteur-interprète d'une entreprise de commerce international ! En effet, il est difficile de ne pas le voir dans une foule, tant il domine le commun des mortels d'une bonne tête voire de deux, puisqu'il avoisine le 1,90m, pour un poids moyen de 85kgs tout en muscles. Auster compense le manque d'activité de sa profession par des séances régulières de sport, comme la musculation ou le basket, auquel il jouait lorsqu'il était au lycée. Brun aux yeux bleus et un visage d'ange font de lui un homme convoité par les demoiselles depuis son adolescence, sans que cela ne lui monte spécialement à la tête.

Étant un garçon assez simple, il ne s'embarrasse pas trop de la mode pour s'habiller ni d'heures interminables en shopping, laissant à sa compagne le choix de sa garde-robe. Dans le cadre de son travail il portera toujours un costume trois pièces, sombre la plupart du temps, mais dans la vie de tous les jours, il préfèrera des t-shirts à manches courtes simples, une veste en cuir ou en jean et pantalon jeans bleus, avec baskets ou randos au pieds.

Il n'a ni tatouage ni piercing, bien qu'il aurait aimé se faire tatouer un tour de biceps, mais sa compagne le lui a interdit, et il obéi.

Auster a le sourire facile malgré l'apparente austérité de son allure générale, qui va parfaitement avec son prénom. Et les fossettes qui se dessinent alors aux commissures de ses lèvres rappelle le jeune âge qu'il a encore, et le rend plus juvénile que lorsqu'il garde un air sérieux. son regard clair pétille aussi d'une malice insoupçonnée.


Mon Caractère


"Austère", qui est sa première forme en français, ce n'est pas juste un prénom pour ce jeune homme à peine âgé de vingt cinq ans. D'apparence calme, et lorsqu'il est sérieux et concentré, Auster ramène le calme dans une pièce, apaise les tensions, désamorce les bombes et impressionne par son naturel placide. Pourtant, il n'est pas méchant, ne cri jamais, et aime plaisanter. Il pratique l'ironie et le sarcasme, dès qu'il en a l'occasion, utilisant son sourire autant pour séduire que comme arme narquoise. Il aime titiller et agacer les gens, en particulier Cléopâtre, ce qui, il s'en rend bien compte, énerve sérieusement sa compagne, Grace. Il affirme cependant être très amoureux de Grace et le prouve souvent par de nombreuses petites attentions. Mais la présence de Cléopâtre le gêne malgré tout, notamment par rapport à Grace, car il a une attirance inavoué pour le jeune homme, et il se prend au jeu pour rendre jalouse Grace lorsque Cléo est dans les parages.

Malgré cet aspect compliqué de sa vie, Auster aime les petites choses simples du quotidien. Un petit déjeuner au lit avec sa compagne, les balades sur la plages, les sorties au ciné ou au restaurant. Il aime le chocolat et le cappuccino, déteste le café et le thé. Il adore tout ce qui est noir ou foncé, mais fuit tout ce qui est clair et rose bonbon.

Au quotidien, il se lâche rarement, se refusant à lâcher prise et à se montrer sous son vrai jour... laissant cela à Cléopâtre.


Based on a True Story


France, Montpellier, Hiver 1989.
Il y a presque un mois que le mur de Berlin est tombé. L’Europe, la France, l’URSS et même les USA parlent, les uns de réunification, les autres de mesures plus profondes. Une situation compliquée, conséquences de la guerre et de l’après-guerre. Des tensions existent encore et Laura Tellier pensent sérieusement à aller s’installer aux usa avec sa petite famille. Chargée des communiqués de presse à ce sujet, il lui arrive souvent de voyager d’un pays à un autre et les Etats-Unis semblent avoir sa préférence. De plus, elle veut une meilleure vie pour son fils, Austère, qui vient de naître. Le père est absent depuis plusieurs mois, ne donnant plus de nouvelle depuis qu’il sait que Laura est enceinte. Peu importe. La jeune femme seulement âgée de vingt et un ans se sent les épaules pour élever seule son enfant et mener sa carrière de front. Elle a toujours été forte et ce n’est pas un enfant qui changera quoi que ce soit. Au contraire. Le regard azur de son fils et son grand sourire ont raison de ses doutes, lui donnent la force de tenir le coup, et d’envisager un avenir meilleur.

A peine six mois plus tard, les voilà tous les deux dans l’avion en direction de Los Angeles où Laura a décroché un travail de pigiste dans un grand journal. Sa maîtrise de l’anglais étant un atout, il ne lui faut pas longtemps pour se faire une place dans la rédaction, et se faire des amis sur qui compter. Elle rencontre même Brian Quinn dont elle tombe amoureuse et qui semble bien s’entendre avec le bébé de Laura. Quand Austère prononce ses premiers mots, c’est pour Brian, qu’il appellera « papa ». Laura et Brian décident d’officialiser leur union et de se dire « oui » devant leurs amis et collègues. Le prénom d’Austère est anglicisé, Laura Tellier devient Laura Quinn et la petite famille déménage en banlieue afin d’y trouver plus de tranquillité. Auster a alors deux ans.

USA, Los Angeles, Été 1997.
Les cris de plus en plus fréquents dans la maison sont insupportables pour le garçonnet alors âgé de sept ans et demi. Il sort par la porte de la cuisine, laissant claquer le battant à moustiquaire en bois contre le chambranle. Du bout du pied il fait rouler le ballon de basket pour l’attraper avec dextérité et le lancer dans le panier un peu plus loin. Les cris s’éloignent, comme si ses oreilles ne percevaient plus le monde extérieur, dès que son ballon touchait ses doigts. Une petite tête blonde apparaît par-dessus la barrière en bois de la clôture des voisins, et deux prunelles claires suivent la course du gamin et les rebonds du ballon. Chaque fois qu’Auster marque, un applaudissement retentit, accompagné de cris enjoués. Après un regard vers la maison désormais silencieuse, le garçon sourit à sa voisine et l’invite à le rejoindre pour jouer ensemble. C’est une amitié qui commence entre Grace et Auster. Une amitié qui durera depuis, pour se transformer en un amour profond plusieurs années plus tard.

Quelques mois plus tard, Brian quitte  la maison, emportant toutes ses affaires avec lui et Laura brûle ou déchire toutes les photos de son mari, même celles qui le montrent avec son fils d’adoption. Placide et silencieux, Auster assiste impuissant et muet, au départ de celui qu’il considère comme son père, et à la chute inexorable de sa mère. Heureusement, Grace est là pour écouter ses peines et ses chagrins, lui rappeler qu’il n’est qu’un petit garçon de même pas dix ans, et qu’il ne peut pas comprendre les choses des grands. Alors, en apparence, tout va bien, et Auster reprend sa vie. Pourtant, il entend sa mère pleurer tous les soirs. Il la voit peu, car elle se plonge dans son travail de plus bel, abandonnant petit à petit son fils qui préfère lui, se plonger dans ses cours et ses études.

Belmont High School, Été 2007.
Les chapeaux à graduations sont lancés en direction du ciel bleu de Los Angeles. Auster a obtenu son diplôme à quelques dixièmes de points seulement du major de promotion, mais il s’en fiche, il va pouvoir aller à la fac et apprendre un métier où il pourra pratiquer sa langue maternelle, le français. De bonheur, il ne cesse de sourire, prend Grace dans ses bras et l’embrasse langoureusement devant une maman fière comme pas deux ! Le soir, ils feront la fête entre ex lycéens et futurs étudiants, avant d’attaquer réellement les études à partir de la rentrée prochaine. Il est loin le garçon renfermé qui parlait peu et réclamait son père chaque soir pour lui lire une histoire. Auster semble avoir enfermé cette partie de sa vie à double tour pour ne plus jamais la ressortir. Pourtant sa mère et Grace ne sont pas dupes et il le sait, mais il refuse d’aborder le sujet, un point c’est tout.

Les bancs de la fac ne sont pas plus confortables que ceux du lycée, mais qu’importe. Le grand brun travaille d’arrache pied pour obtenir sa licence, Grace toujours à ses côtés. Mais une ombre vient obscurcir le tableau quand Laura tombe malade et doit être internée à l’hôpital psychiatrique de la ville. Pourtant, ce n’est pas ce qui arrête Auster qui obtient son diplôme, soutenu par sa copine. Ils se prennent un appartement ensemble dès qu’ils quittent l’université, et commencent à travailler chacun dans leur branche. Auster en tant que traducteur-interprète dans une entreprise de commerce international, et Grace de son côté. Ils ne se voient que le soir, parfois que le week-end, lorsque le jeune homme doit s’absenter pour voyager. Il lui arrive même de découvrir la France et sa ville natale, Montpellier. En secret, il commence même des recherches pour retrouver son géniteur. Mais les recherches sont infructueuses, ce qui le frustre singulièrement. Mais il ne dit rien, encore une fois.

Un appartement de banlieue, L.A., Janvier 2013.
Il y a maintenant presque quatre ans que le couple s’est mis en ménage et vit une vie heureuse, d’entente cordiale, de dispute sans conséquence, de tendresse et de chamaillerie. Si Auster semble se satisfaire de ce quotidien monotone, cela n’est pas le cas de Grace qui remet souvent sur le tapis cette histoire de fiançailles et de bébé. Mais le grand brun ne répond jamais franchement et évite avec brio la discussion, prétextant un rendez-vous important, un coup de fil urgent ou une visite à sa mère, à l’hôpital. Un soir cependant, Grace prévoie tout en grand et fait en sorte d’avoir son homme rien que pour elle. C’est un diner aux chandelles à domicile, petite nuisette et pétales de rose dans tout l’appartement. Auster pour qui l’idée du mariage est urticante, sent son estomac se retourner, mais il reste serein, comme à son habitude. Il prend la chose avec humour léger, boutade et sarcasme aigre-doux. Grace parvient cependant à placer sa demande en mariage entre tendres baisers et côte de bœuf.

Pendant plusieurs longues secondes, Auster reste silencieux, incapable de parler, n’osant quitter son assiette du regard. C’est alors qu’il apparaît à ses côtés. Un jeune homme totalement nu, brun, au visage angélique, mèches désordonné et regard sombre. L’espace d’un moment, la confusion règne dans la pièce, chacun se demandant ce qu’il fait là, Auster pensant qu’il s’agit du Daemon de Grace, et elle pensant qu’il s’agit plutôt de celui d’Auster. Il ne faut pas longtemps au nouveau venu pour s’expliquer, à sa façon si incongrue, et plante les amoureux dans la perplexité la plus totale. De honte, Grace s’enferme dans la chambre, laissant le Lié et son Daemon faire connaissance.

Après plusieurs de discussion, Auster se rend compte que le Daemon n’a pas de nom et qu’il lui faut lui en trouver un. Laissant son regard divaguer sur les étagères du salon et ses livres de voyages, il fini par s’arrêter sur une encyclopédie traitant du déclin de l’Égypte antique et le nom apparaît comme une évidence.

-Cléopâtre. Affirme-t-il en baptisant ainsi celui qui sera à jamais à ses côtés, qu’il le veuille ou non. Après tout, il est le témoin d’un couple à la dérive, du déclin d’une vie trop bien rangée.

Depuis, Auster aida Cléo à s’intégrer dans sa nouvelle vie, l’accueillant à l’appartement malgré les réticences de Grace et la jalousie évidente qui s’instaura depuis pour Cléo. En effet, il s’avéra qu’Auster passa plus de temps avec Cléopâtre, délirant sur divers sujets, se moquant gentiment de Grace, et surtout passant beaucoup de temps ensemble. S’il ne l’avoua jamais, Auster doit bien reconnaître qu’il ne tient pas longtemps loin de son Daemon, se demandant ce qu’il fait, qui il voit quand il n’est pas avec lui, comme lorsqu’il a commencé à sortir avec Grace. Cependant, il ne peut nier la tendresse qu’il éprouve encore pour Grace, son amie d’enfance, la seule et unique femme qu’il connu de toute sa vie.

Mais Cléopâtre est une donnée non négligeable de sa vie, et Auster ne peut plus composer sans.

Toutefois, le grand brun ne compte pas laisser tomber sa compagne, ni gâcher tant d’années à ses côtés juste pour un être qui ne devrait même pas exister et qui vient tout bousculer !


Bonjour tout le monde ! C'est moi la plus Rebel'z de tous, la personne cachée derrière l'écran.
Je suis arrivée ici grâce à mon premier compte Hades Snyder et je suis majeure puisque j'ai toujours 28 ans.

Mon niveau rp est Vétéran et je suis accroc à ce forum '_' ♥.





Dernière édition par Auster P. Quinn le Mar 21 Jan - 19:11, édité 11 fois
Anonymous
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:11
Le démon du RP aura notre peau !!! Penser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter 28662810

Bon courage pour cette fiche ma poule ! monkey
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:12
Bon courage pour cette fiche, ma belle !!
Fonda
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:13
Rowan : Mouahahahaah XD merciiiii toi aussi  clown

Cambria : merkiiii  Idea 
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:38
Tom Welling <3
Bienvenue Smile
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:43
Re parmi nous, tu connais la maison! ♥
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 16:45
Hihiiii merkiiiii  Rolling Eyes 
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 18:16
YAAA *saute dans les bras*
On va se faire un burger ! Tu m'invites !
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyDim 19 Jan - 18:25
Wa l'ôtre '_' et tu bosses, non ? ton burger tu vas le payer tout seul !

*se marre et se barre*
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyMar 21 Jan - 19:45
Fiche validé, mon tout beau  Penser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter 3919004787 
N'oublie pas de faire ta fiche de liens et bon jeu avec ce personnage très sympa  monkey 
Fonda
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MessagePenser n’est jamais qu’une manière un peu "Austère" de raconter EmptyMar 21 Jan - 19:51
Hiiiiii merki  Idea 
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